MAGNETO RB


 













Les magnétos R. B. sont du type à haute tension et à étincelles directes.

L'inducteur est constitué par une paire d'aimants permanents fixés aux masses polaires, fixées sur le socle.

L'induit est composé d'un noyau feuilleté, sur lequel s'enroulent les fils des bobinages primaire et secondaire.

L'armature ainsi bobinée est fixée entre ses disques avant et arrière pour former l'induit complet. Le disque avant contient le condensateur et porte, en son centre, l'axe d'entraînement. Le disque arrière supporte la bague collectrice, et, par son axe creux, entraîne le mécanisme de rupture qui vient s'y engager. La perméabilité du noyau a été étudiée de façon à rendre maximum le passage du flux magnétique.

Le mécanisme de rupture, complètement protégé, est enfermé dans la boîte de rupture, laquelle est munie de son couvercle, maintenu lui-même en place par un ressort plat.

Le rupteur est formé d'un socle ou plateau supportant le levier de rupture, son ressort de rappel et le support de la vis platinée longue ; ce support est isolé de la masse et communique avec le fil primaire au moyen d'une vis centrale, servant en même temps à la fixation de tout le dispositif.

Le levier de rupture est à la masse et son axe s'engage dans un téton faisant corps avec le plateau ; ce levier est maintenu en place par un petit ressort verrou. Il porte, en outre, d'un côté la vis platinée courte, qui établit ou rompt le contact avec la vis isolée. A l'autre extrémité, il est muni d'un toucheau de fibre dure venant frotter sur les cames en faisant basculer le levier, ce qui détermine la rupture du contact. Dès que la came est dépassée, le ressort de rappel ramène le levier dans sa position première. Ce levier est équilibré et n'entraîne aucune vibration anormale, même aux plus grandes vitesses.

Le distributeur se trouve placé exactement au-dessus de la bague collectrice de laquelle il reçoit le courant à haute tension par l'intermédiaire d'un charbon.

De ce fait, les connexions d'amenée du courant sont supprimées et toute la tension est dans le distributeur.

A l'intérieur du distributeur, où affleurent la bague centrale et les plots métalliques, tourne le porte-balais rotatif, muni de ses deux charbons dont l'un prend le courant sur la bague pour le transmettre, par l'intermédiaire du second, aux plots sur lesquels ce dernier vient frotter.,

Le porte-balais rotatif s'engagé, par sa tige, dans l'arbre creux de distribution qui lui donne son mouvement de rotation. Cet arbre est lui-même entraîné par un engrenage en bronze, commandé par un pignon, fixé sur l'axe de l'induit.

L'orifice du distributeur se ferme au moyen du couvercle du distributeur, portant sur lui-même le parafoudre et se trouve maintenu dans sa position par un ressort.

Le parafoudre ou limiteur de tension est constitué par une pointe fixée au  ressort du couvercle du distributeur. Cette pointe vient en regard d'une seconde qui se trouve encastrée au centre du couvercle et qui reçoit recourant à haute tension par l'intermédiaire du balai rotatif.

Ce dispositif permet de déceler extérieurement, sans démonter quoi que ce soit, les ratés d'allumage dus à une résistance anormale du circuit, comme par exemple un fil cassé, ou écartement exagéré des pointes des bougies. En effet, on voit jaillir les étincelles dès que le courant ne trouve pas son chemin normal : on évite ainsi une tension trop élevée qui pourrait être nuisible à l'induit et aux isolants.

Les flasques avant et arrière rendent la machine complètement hermétique et portent les logements des roulements.

Dans chaque modèle, tous les axes sont montés sur roulements à billes annulaires, et sans aucun porte-à-faux.
 
 




CALAGE, REGLAGE, ENTRETIEN DES MAGNETOS,

LES PANNES D'ALLUMAGE
 

Calage de la Magnéto sur le moteur.


 












On connaît en général l'avance à l'allumage à donner au moteur ; dans le cas contraire, on prend comme avance 1 /10 de la course du piston pour les moteurs tournant aux environs de 1200 tours à la minute. Cette avance étant déterminée (6 à 12 millimètres suivant les moteurs), on amène le cylindre no 1 par exemple, au temps de compression, les deux soupapes sont à ce moment fermées, et on vérifie avec une tige de fer (pige), introduite par le robinet de décompression. que le piston doit encore parcourir, avant d'arriver au point mort -haut, la distance que point s'est donnée pour l'avance. Cette vérification s'opère facilement à l'aide de repères placés sur la tige de fer.

On rend folle, à ce moment, la roue ou cardan de commande, montée en bout d'axe de l'induit, en enlevant ou non la magnéto. Ceci fait, on enlève sur la magnéto le couvercle en laiton du dispositif de rupture, on place entre les vis platinées du rupteur une feuille de papier mince (papier à cigarette) et on fait tourner la magnéto dans le sens de rotation convenable, jusqu'à ce que cette feuille reste entre les doigts de l'opérateur : on est alors au moment de l'allumage, car les deux vis platinées viennent de s'écarter et de rompre le circuit primaire.

A cet instant précis, régler la denture de l'engrenage ou cardan de la magnéto bien en rapport avec la denture de l'engrenage ou tournevis du moteur. Ergoter ou bloquer avec soin l'engrenage ou le cardan.

VÉRIFICATION. - Il est bon de vérifier, une fois ce réglage fait, que l'on a bien l'avance fixée au moment où s'ouvre le rupteur, cette avance ayant pu varier par suite du jeu existant dans les engrenages de commande.

Il convient de voir également si le balai du distributeur se trouve bien sur le plot du cylindre que l'on règle.

Ces diverses conditions étant remplies, la magnéto est alors réglée sur le moteur.

Remarque I. - Ceci pour les moteurs à magnéto à avance fixe. Quand la magnéto possède l'avance à l'allumage commandé à la main, on opère pour le réglage de la façon suivante.

On donne à la magnéto tout le retard d'avance à l'allumage au moyen du levier de commande, et on amène le piston du cylindre choisi juste à fond de course au temps de compression (point mort haut).

On opère ensuite comme précédemment. RÉGLAGE ANGULAIRE - Le réglage S'effectue sur certains moteurs à l'aide de repères tracés sur le volant.

Ces repères indiquent le réglage de l'admission, de l'échappement et de l'allumage.

Pour régler par exemple l'avance à l'allumage On amène le cylindre au point mort haut, au temps d'explosion, en se basant sur le repère correspondant du volant, qui se trouve à ce moment en face d'un index fixe. On fait tourner le volant dans le sens convenable en amenant le repère donnant l'avance à l'allumage en face le  même index.

Il suffit alors de vérifier que le rupteur de la magnéto va s'ouvrir à cet instant.

L'allumage est réglé, car l'on a par construction l'avance qu'il convient de donner au moteur.

Dans les moteurs rotatifs où les caractéristiques du réglage sont données en degrés, on se base pour effectuer ce dernier sur l'écartement qui existe entre les cylindres et qui correspond à un nombre de degrés que l'on connaît (3600 divisé par le nombre de cylindres, pour les moteurs en étoile genre Gnôme).

On amène alors le cylindre qui et au temps de la compression (les deux soupapes sont fermées) à une position telle que l'axe ce cylindre ait encore à parcourir le nombre de degrés fixés pour cette avance, 260 en général, avant de passer à la verticale.

RÉGLAGE DES VIS PLATINÉES. - L'écartement des vis platinées doit être d'environ 3 /10 de millimètre et en aucun cas ne dépasser 5 /10 de millimètre.

On a un bon réglage pour un écartement de 4/10 de millimètre. Il est facile de vérifier cet écartement au moyen de la petite lame fixée à la clef de réglage. Cette lame doit passer sans jeu entre les vis platinées lorsqu'elles sont écartées par la came.

Pour régler l'écartement, il suffit de desserrer le contre-écrou de la vis mobile et d'agir sur sa tête à six pans. Prendre bien soin de rebloquer le contre-écrou après l'opération.

Vérifier en dernier lieu que l'écartement est bien le même pour toutes les cames.
 
 



Entretien de la Magnéto.


 
















Les magnétos sont construites de façon que leur entretien soit aussi minime que possible.

GRAISSAGE. - Les paliers sont munis de roulements à billes, il suffit de les graisser très légèrement de temps à autre : trois au quatre gouttes d'huile de bonne qualité tous les huit jours de marche.

En général, le dispositif de rupture a l'axe de son levier se mouvant dans un coussinet en fibre et fonctionne sans être lubrifié.

NETTOYAGE. Il est bon de nettoyer tous les quatre ou cinq mois les graisseurs ; nettoyer parfois à l'essence, surtout après une longue marche.

Vérifier spécialement l'état de propreté du dispositif de rupture, et éviter la présence d'huile entre les contacts ; l'huile détermine en effet une usure plus rapide du platine et provoque en outre des ratés d'allumage.

Contrôler l'écartement des contacts platinés au moment de la rupture à l'aide du gabarit que porte la clé de réglage, cet écartement doit être de 3 à 4 /10 de millimètre et doit être réglé par la vis platinée longue.

Avoir soin de bien bloquer le contre-écrou de cette vis platinée après réglage.

Si les surfaces de contact de platine ne sont pas planes, mais dans ce cas, seulement, les rectifier avec de grandes précautions, à l'aide d'une lime extra douce ou de papier d'émeri très fin.

Si, pour faciliter le nettoyage du dispositif de rupture, on le démonte de la magnéto, il faut avoir soin, lors du remontage, d'engager l'ergot que porte son axe conique dans la rainure correspondante de l'arbre. de la magnéto.

Vérifier les secteurs métalliques de la plaque de distribution, les balais en charbon de prise de courant haute tension, le balai frotteur de masse et le frotteur du distributeur.

S'assurer que les balais et frotteurs coulissent bien dans leur logement et sont bien ramenés par le ressort dont ils sont munis.

A cet effet, il est recommandé de pratiquer une petite rainure dans le sens longitudinal du charbon, ce qui aide à le faire coulisser.

S'assurer que les fiches de prise de courant permettent un bon contact, c'est-à-dire soient bien propres et portent bien dans leur logement.

CONNEXION. - On doit employer pour les conducteurs du courant haute tension des fils à très fort isolement au caoutchouc (1.200 mégohms), veiller à ce que les contacts soient bien établis aux bornes ; que les surfaces portent bien et ne soient pas sales ou oxydées et que la base de la magnéto soit bien en contact avec la masse métallique du moteur.

Disposer les câbles de telle sorte que leur isolant ne puisse être rapidement détruit par frottement ou toute autre cause; remplacer tout fil dont l'isolement pourrait être douteux.
 
 



Pannes d'allumage.


 
















Pour nous guider dans la recherche méthodique des pannes d'allumage, nous allons examiner les différents inconvénients qu'entraînent ces pannes et développer dans chaque cas particulier les causes qui les produisent.

Naturellement, dans chaque cas examiné, les pannes ou inconvénients rencontrés se rapportent seulement à l'allumage.

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PREMIER CAS. - Le moteur ne part pas par suite du mauvais fonctionnement de l'allumage.

On vérifie tout d'abord si la magnéto donne des étincelles pour cela, nous le savons, on détache un fil de la bougie que 1'on approche de la masse du moteur et on vérifie que l'un a une étincelle en faisant tourner la magnéto.

Il y a des étincelles aux bougies,

Il peut se faire que la magnéto soit décalée après mauvais montage; que le distributeur soit encrassé ou humide. que les connexions soient mal faites; que les aimants soient partiellement désaimantés.

Il n'y a pas d'étincelles aux bougies,.

Les défauts peuvent alors provenir

De l'interrupteur qu'on a oublié de mettre sur la mise en marche.

Des bougies : court-circuit entre les électrodes dû à la formation d'une perle de métal ; écartement exagéré entre les électrodes ; encrassement de la bougie ; porcelaine fendue.

Du moteur : vis platinées encrassées ou trop écartées ; levier de la vis mobile coincé au pivot (douille en fibre gonflée).

Collecteur : charbon coincé; court-circuit franc dans le guide du charbon collecteur.

Du distributeur : charbon frotteur du distributeur coincé dans sa gaine ou frottant mal; distributeur sale, plots encrassés.

Des connexions : fil rompu, détaché ou dénudé ou en contact avec la masse.

Du condensateur détérioré et formant court-circuit (rare).

Du parafoudre en court-circuit par suite de l'interposition d'un corps étranger (rare avec les nouveaux).

Les remèdes à apporter à ces diverses pannes s'indiquent d'eux même; toutefois pour le mécanisme de rupture, les précautions suivantes sont à prendre

Si le coussinet en fibre qui reçoit l'axe du levier est gonflé et empêche le fonctionnement de ce dernier dévisser, les vis qui tiennent le ou les ressorts, retirer le levier, passer de la toile émeri sur le tourillon, bien l'essuyer, le remonter.

Si les contacts platinés ne sont pas très propres et portent mal, les limer légèrement avec une lime neuve et bien douce et vérifier l'écartement qui, avons-nous dit, doit être de 4/10 de millimètre.

Eviter de mettre de la limaille après la magnéto.

Si les charbons ont tendance à se coincer, pratiquer comme nous l'avons dit précédemment une petite rainure longitudinale.

DEUXIÈME CAS. -Le moteur part  mais un cylindre ne donne pas.

En général le défaut vient de la bougie.

On peut reconnaître le cylindre qui ne donne pas de deux façons

1° Le moteur étant en marche, le cylindre qui ne donne pas est généralement plus froid que les autres, et, de ce fait, facilement reconnaissable.

2° Faire attention au bruit du. rythme du moteur tournant légèrement au ralenti; prendre par exemple un tournevis en le tenant par le manche et placer la tige en fer sur le moteur de façon à toucher en même temps l'extrémité de la bougie et la masse du cylindre de façon à former court.-ciruit. En répétant cette opération sur chacune d'elles, celle, où le bruit du moteur sera le même qu'au début de la vérification indiquera le cylindre qui ne donne pas, par défaut d'allumage.

Dans les deux cas, changer ou réparer la bougie, et, au besoin le fil qui amène le courant.

Remarque. - Lorsqu'on a démonté la bougie, si le défaut n'est pas apparent, il ne faut pas hésiter à la changer. Car, si on l'essaye, elle peut très bien fonctionner à l'air libre et ne plus donner du tout dans le cylindre où la compression crée une très grande résistance du passage du courant entre les électrodes.

TROISIÈME CAS. - Le moteur a des ratés.

Ils peuvent être dus

Aux bougies : court-circuit, encrassage ou trop grand écartement des pointes, porcelaine fendue.

A la canalisation : fil détaché, dénudé, coupé ou partiellement rompu.

Au distributeur : huile sur plots en cuivre, charbon brisé ou coincé, court-circuit dans le guide du charbon du collecteur.

Aux mauvais contacts : écrasement, bris ou faiblesse des ressorts.

Au rupteur : levier ne fonctionnant -que par intermittence par suite du gonflement de la douille en fibre.

Pour les moteurs rotatifs, lorsque les ratés proviennent de ce que la chambre à la bougie est pleine d'huile, on peut faire disparaître cet inconvénient en ralentissant le moteur et en coupant l'allumage quelques secondes par intermittence.

QUATRIÈME CAS. - Le moteur ne donne pas toute sa puissance

L'avance à l'allumage est trop grande ou trop faible.

CINQUIÈME CAS. - Le moteur s'arrête, puis repart.

Contacts intermittents avec la masse. Vérifier la canalisation de l'interrupteur de mise en court-circuit.

SIXIÈME CAS. -Le moteur s'arrête brusquement.

Le charbon du collecteur du distributeur peut être cassé, la fiche de contact du courant haute tension a pu sauter, la magnéto a pu se décaler par rapport au moteur, le câble reliant la prise du primaire à l'interrupteur touche à la masser

Si l'on a des doutes pour ce dernier cas, il suffit de détacher le fil de la borne du primaire de la magnéto. On élimine de ce fait toutes causes d'ennui de ce côté, mais on ne peut plus couper l'allumage.

SEPTIÈME CAS. - Le moteur cogne.

Lorsque le bruit est momentané, le défaut provient d'un excès d'avancé à l'allumage. Si l'avance est réglable  par la magnéto, il faut la diminuer quand la vitesse du moteur décroît , ne pas exagérer, car si I'avance est trop faible, le moteur a tendance à chauffer.

HUITIÈME CAS. - Le moteur a des retours.

Les retours proviennent d'un excès d'avance 'l'allumage ou d'un auto-allumage, si le moteur est trop chaud.

Il est prudent, au lancement du moteur, de tirer la manivelle toujours de bas en haut et non de pousser de haut en bas, car dans ce dernier cas un retour, du moteur pourrait être dangereux pour l'opérateur.

NEUVIÈME CAS. - On ne peut couper l'allumage.

Vérifier que l'interrupteur fonctionne bien et est en bon état.

Revoir la canalisation et les contacts.

Vérifier que le charbon de masse n'est pas coincé, brisé ou absent .

Si le dispositif persiste à ne pas fonctionner, le défaut provient d'un isolement défectueux de l'induit ; il faut avoir recours au constructeur.

Remarque. - La présence du charbon de masse s'explique souvent assez mal pour les débutants. .Nous allons préciser son rôle.

1° Nous prenons une magnéto où ce charbon de masse fonctionne normalement :

Notre magnéto donne des étincelles

On peut couper l'allumage à volonté par l'interrupteur.

2° Nous ôtons ce charbon de masse, nous constatons les faits suivants :

a) La magnéto continue à donner des étincelles, car le circuit primaire part de la masse de l'induit et revient à cette masse en passant par le rupteur et le cône du plateau ; donc le circuit primaire est fermé très franchement et l'étincelle se produit normalement.

b) On ne peut couper l'allumage par Interrupteur de mise en court-circuit : le circuit de l'interrupteur se ferme bien, mais il est devenu très résistant (le courant devant passer par l'engrenage, les roulements à billes, etc., le tout en général plein d'huile, pour revenir à la masse de l'induit), le courant qui le parcourt est très faible et incapable, en marche ordinaire de neutraliser celui passant par le rupteur qui continue alors à faire produire des étincelles à la bougie. Néanmoins, on constate quelquefois des ratés au moteur, en manoeuvrant l'interrupteur, surtout si les engrenages de commande et le socle où repose la magnéto sont très propres et forment bon contact. Mais dans la majorité des cas, il est impossible de couper.

c) Au départ, si l'on coupe l'allumage, le moteur ne part pas vu la faible vitesse de rotation du moteur, le courant qui passe par le circuit de l'interrupteur suffit à ce moment pour empêcher l'étincelle, tout le courant étant nécessaire au rupteur.

D'où conclusion : en ôtant le charbon de masse, la magnéto donne normalement des étincelles, mais il est impossible de couper l'allumage dans la majorité des cas. Ce charbon est donc indispensable, car il établit un contact franc avec la masse pour le circuit de l'interrupteur et. assure le bon fonctionnement de ce dernier.
 
 


 
 

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